Archive pour la catégorie 'Non classé'

Nous avons un problème en cuisine

Jeudi 5 juin 2008

Nous avions décidé avec Séverine d’aller déjeuner chez le japonais.

Je me suis fait la remarque que je ne voyais personne aux tables à travers la vitrine alors qu’à cette heure-là le restaurant est toujours plein.

L’instant d’après nous nous trouvions nez à nez avec la patronne et l’un des serveurs qui barraient l’entrée.

Elle nous dit avec un sourire contrit qu’aujourd’hui le restaurant était fermé en raison d’un problème en cuisine.

Elle nous invitait vivement à revenir dès le lendemain.

J’imaginais naïvement une panne de frigo pour le moins délicate dans un restaurant spécialisé dans le poisson cru.

Nous nous dirigions vers une autre de nos adresses favorites un peu plus loin dans la rue lorsque je reconnus dans un fourgon de police une des serveuses, puis en avançant, un autre serveur, et finalement tout le personnel de salle du restaurant.

Il semble qu’il aurait été plus élégant de la part des services de police d’attendre la fin du service de midi pour oeuvrer.

Carla à Matignon

Dimanche 2 mars 2008

François Fillon en visite au salon de l’agriculture s’est vu offrir, entre autres présents, une poule baptisée Carla.

Un cadeau reçu des mains d’Yves de la Fouchardière, le directeur des fermiers de Loué, dans la Sarthe, département bien connu du Premier Ministre qui après y être né a été élu tour à tour Président de son Conseil général, Président du Conseil régional des Pays de la Loire et Maire de la commune de Sablé-sur-Sarthe.

Yves de la Fouchardière a déclaré aux journalistes : “Comme elle est belle, on l’a appelée Carla, mais je ne sais pas si elle chante juste !”

Heureusement qu’il n’a pas offert un cygne.

Naturellement, François Fillon a accepté ce présent original dont la garde a immédiatement été confiée au service de sécurité du Premier Ministre, confirmant, s’il en était besoin, sa préciosité.

A l’heure où le Premier Ministre fume son “patron” dans les sondages de popularité, il fait montre d’un bel humour potache en se prêtant à la blague sympathique de ses ouailles tout en recevant ainsi l’attribut qui le place symboliquement sur un pied d’égalité avec le chef, du moins sur l’échelle de valeurs de ce dernier.

Il aurait pu, en effet, de façon décevante, il est vrai, s’offusquer de cette farce innocente ou, pire, refuser avec gêne ce présent offert avec sincérité en prétextant, par exemple, que l’on n’avait pas fait tant fait d’égards au Président lors de sa visite oubliant qu’à Neuilly il y a peu d’éleveurs de gallinacées.

Cela étant, j’imaginais déjà le drame dans le couple Fillon et les récriminations aussi bruyantes que justifiées de Pénélope, la femme de François, à propos de sa “poule” qu’il logerait à son “office” (car Pénélope est galloise) pendant qu’elle attendait son retour à la maison.

Et puis qu’a-t-elle de plus cette Carla emplumée ? Etymologiquement, Pénélope du grec pênélops désigne un canard ou une oie sauvage. Mais certainement pas une oie blanche.

Je n’évoque même pas ses relations avec le Président qui n’a certainement pas envie de cultiver le souvenir du salon de l’agriculture suite à son expérience malheureuse et encore moins qu’il existe un risque quelconque qu’il puisse être dit que sa femme serait la poule de son “collaborateur”.

J’ai craint que cette innocente poule ne soit pour François Fillon comme un chat pour ma gorge.

Avec l’élégance du rugbyman et surtout l’expérience du vieux renard politique, François Fillon a botté en touche, en mettant immédiatement Carla au vert, dans leur Sarthe natale à tous les deux.

Cela étant, je me demande si finalement cette poule n’aurait pas trouvé sa place auprès du petit coq de l’Elysée.

Le rendez-vous

Dimanche 28 octobre 2007

J’ignorais son adresse mais je savais dans quel quartier elle habitait.

C’est la proximité de ce quartier qui m’avait fait choisir le café où je lui avais donné rendez-vous.

Arrivé le premier, j’avais préféré l’attendre à l’extérieur pour qu’elle n’ait pas à me chercher dans la salle qui offrait plusieurs recoins.

Je lançais des oeillades à droite et à gauche comme si je m’apprêtais à traverser cette rue sans circulation en me demandant par quel côté elle allait arriver.

Comment un premier rendez-vous peut-il toujours être à la fois si ordinaire et si angoissant ?

Ce n’est d’ailleurs pas tant le rendez-vous en lui-même que son attente qui fait le terreau de l’angoisse.

Je l’ai vue apparaître à l’extrémité la plus proche de la rue.

Nous nous observâmes quelques secondes tandis qu’elle approchait.

Elle était élégante.

Je me demandais comment ellle jugeait ma mise de son oeil averti.

Je crois qu’elle avait chaussé ses plus hauts talons afin d’apprécier si elle me dépassait ainsi.

Il faisait encore doux et nous nous installâmes à une table entre les portes fenêtres ouvertes.

Je ne quittais ses yeux que par instant pour chercher un mot, au-dessus de sa tête.

J’empêchais ainsi mon regard de glisser vers l’écume de dentelle qui poignait au creux de son décolleté.

Je regardais ses doigts papillonner dans ses cheveux.

Elle me parla du Jardin des Plantes.

Je lui appris que l’on pouvait voir les petits pandas de la ménagerie depuis les allées du jardin.

Elle ne s’écarta pas lorsque nos genoux se rencontrèrent sous la table.

Nous nous quittâmes sans dîner car elle avait du travail.

Je crus, néanmoins, que je lui avais plu.

En écho à notre conversation, j’allais, peu après, me promener au Jardin des Plantes.

Ce jour-là, j’appris par le commentaire d’un guide derrière les grilles de la ménagerie que les pandas venaient d’avoir deux petits qui demeuraient alors à l’abri des regards.

Par la suite, j’ai revu les pandas, j’ai même vu leurs petits.

Seul.

Je m’étais trompé.

Actualités

Dimanche 21 octobre 2007

Nicolas Sarkozy, fraîchement élu, avait annoncé que sa première décision de Président de la République serait de faire lire chaque année dans tous les lycées la dernière lettre de Guy Môquet, jeune résistant fusillé à 17 ans en 1941.

Ainsi, demain, lundi 22 octobre, date anniversaire de l’exécution des 27 résitants parmi lesquels se trouvait Guy Môquet, le personnel enseignant des lycées est invité à lire cette lettre aux élèves conformément à la Circulaire n°MENE0701517N du ministre de l’éducation nationale et ses annexes publiées au Bulletin Officiel du Ministère de l’éducation nationale n°30 du 30 août 2007.

Cette circulaire ayant provoqué un certain chahut, le porte-parole de l’Elysée, David Martinon, a pris soin de préciser que toute “logique de sanction” était écartée, confirmant ainsi que les enseignants étaient “invités” à lire cette lettre et non pas “obligés” de le faire.

En effet, pas d’obligation sans sanction.

Il est pour le moins opportun que l’hypothètique refus de lecture d’un tel document ne soit pas sanctionné.

Au demeurant, les médias se feront un plaisir de désigner ceux qui auront refusé de répondre à la circulaire et qui provoqueront, à n’en pas douter, l’incompréhension et les regrets du Président.

Le texte de cette lettre dont la lecture est controversée est le suivant :

“Ma petite maman chérie,

mon tout petit frère adoré,

mon petit papa aimé,

Je vais mourir ! Ce que je vous demande, toi, en particulier ma petite maman, c’est d’être courageuse. Je le suis et je veux l’être autant que ceux qui sont passés avant moi. Certes, j’aurais voulu vivre. Mais ce que je souhaite de tout mon cœur, c’est que ma mort serve à quelque chose. Je n’ai pas eu le temps d’embrasser Jean. J’ai embrassé mes deux frères Roger et Rino. Quant au véritable je ne peux le faire hélas ! J’espère que toutes mes affaires te seront renvoyées elles pourront servir à Serge, qui je l’escompte sera fier de les porter un jour. A toi petit papa, si je t’ai fait ainsi qu’à ma petite maman, bien des peines, je te salue une dernière fois. Sache que j’ai fait de mon mieux pour suivre la voie que tu m’as tracée.

Un dernier adieu à tous mes amis, à mon frère que j’aime beaucoup. Qu’il étudie bien pour être plus tard un homme.

17 ans 1/2, ma vie a été courte, je n’ai aucun regret, si ce n’est de vous quitter tous. Je vais mourir avec Tintin, Michels. Maman, ce que je te demande, ce que je veux que tu me promettes, c’est d’être courageuse et de surmonter ta peine.

Je ne peux en mettre davantage. Je vous quitte tous, toutes, toi maman, Serge, papa, en vous embrassant de tout mon cœur d’enfant. Courage !

Votre Guy qui vous aime.

Guy

Curieusement, il semble qu’il existait un post-scriptum (“Dernières pensées : Vous tous qui restez, soyez dignes de nous, les 27 qui allons mourir !”) qui a disparu de la version de la lettre figurant parmi les annexes de la circulaire précitées.

Il sera rappelé que Guy Môquet, alors lycéen, fut arrêté en octobre 1940 alors qu’il distribuait des tracts de propagande communiste qui était alors interdite.

Il sera fusillé un an plus tard avec un groupe de 26 autres communistes, tous désignés par le ministre de l’intérieur français de l’époque, en représailles de l’assassinat d’un officier allemand, Karl Hotz, par des résistants communistes. Il était le plus jeune du groupe.

Ne conviendrait-il pas, pour ajouter à l’éclaircissement du contexte, de lire également le poème, non moins édifiant, saisi sur Guy Môquet le jour de son arrestation et divulgué par le contre journal de Libération ?

« Parmi ceux qui sont en prison
Se trouvent nos 3 camarades
Berselli, Planquette et Simon
Qui vont passer des jours maussades

Vous êtes tous trois enfermés
Mais patience, prenez courage
Vous serez bientôt libérés
Par tous vos frères d’esclavage

Les traîtres de notre pays
Ces agents du capitalisme
Nous les chasserons hors d’ici
Pour instaurer le socialisme

Main dans la main Révolution
Pour que vainque le communisme
Pour vous sortir de la prison
Pour tuer le capitalisme

Ils se sont sacrifiés pour nous
Par leur action libératrice.»

En fait, je me demande si la diffusion du film de Jean-Pierre Melleville, L’armée des ombres, ne parlerait pas plus aux lycéens du 21ème siècle.

“Il faut faire preuve d’inventivité”

Lundi 1 octobre 2007

s’est écrié le ministre du logement et de la ville, Madame Christine Boutin, après avoir, je cite la dépêche de l’agence Reuters, lancé l’idée d’ajouter un étage aux immeubles bâtis comme à ceux en construction, afin d’enrayer la crise du logement en France.

On ne peut qu’être admiratif face à tant d’audace et d’ingéniosité.

On est un peu impressionné aussi de la facilité avec laquelle Madame le Ministre enjambe sans ciller la barrière plus basse qu’on ne l’aurait cru, il est vrai, mais il ne s’agit finalement que d’une infimité de lettres, qui sépare l’ingéniosité de l’ingénuité.

A se demander pourquoi ses prédécesseurs ont toujours tu cette opportunité qui nous tend les bras depuis le dernier étage.

Son homologue chargé du travail osera-t-il lui emboîter le pas, courageusement, dans l’escalier en proposant que l’on ajoute non pas un mais deux étages supplémentaires par immeuble afin de créer plus d’emplois encore et d’enrayer également la crise du chômage ?

Quoi qu’il en soit, les travaux ne devraient pas commencer dans l’immédiat.

En effet, à l’époque où les SDF tentent de se sédentariser en installant leurs tentes où ils peuvent, la facétieuse Madame Boutin a, tout en dénonçant la crise du logement, converti en caravane jetée sur les routes le ministère qui entre tous avait vocation à posséder une adresse fixe, celui du logement.

Elle a dissipé tout doute quant au caractère résolument nomade de son ministère délocalisé un temps à Lyon en précisant que “Lyon n’est qu’une première étape d’un processus irréversible, nous allons entamer un tour de France.”

On aurait tort de céder à une ironie facile alors que la décision du ministre n’est pas dénuée de pertinence si l’on y prête attention.

Les locaux du ministère du logement sont vacants et devraient ainsi pouvoir accueillir des personnes sans domicile. Par ailleurs, les gens du voyage si souvent victimes d’ostracisme peuvent se réjouir de ce rapprochement pour le moins inhabituel de leurs préoccupations par le ministère du logement.

Le ministre a tenu à consolider sa proposition en ajoutant : “Cette idée est apparue dans nos débats, elle doit être étudiée, elle offre l’avantage de ne pas consommer trop d’espace.”

Le fameux slogan “En France, on n’a pas de pétrole mais on a des idées” qui avait fleuri lors du premier choc pétrolier conserve aujourd’hui encore toute sa pertinence.

La caravane du ministère du logement avec à sa tête son ministre perchée sur une Rossinante poursuivra sa route longtemps après que la France aura épuisé sa dernière goutte de pétrole et même son dernier seau de béton.

Cependant, c’est sans méchanceté aucune que je souhaite à madame le ministre de ne jamais atteindre les Etats-Unis pourtant si chers au Président, au risque de connaître le même sort que le petit cheval blanc de Georges Brassens. La violence du choc pourrait, en effet, lui être fatale.

Recette de célibataire

Lundi 24 septembre 2007

C’est pourtant facile de se faire plaisir : il suffit de se faire des crêpes !

(et d’avoir de la confiture)

Un été travesti

Dimanche 16 septembre 2007

Durant cet été travesti, j’ai souvent pensé à ces quelques lignes extraites des Leçons particulières de la pianiste Hélène Grimaud :

Comment lui expliquer, dès lors, que je n’avais rien tu, mais tout dit ? Que ma vie, toute ma vie était exposée, que j’avais choisi d’aimer à la lumière de midi. Que c’est en n’ayant plus de secret, plus rien à cacher, en étant peint aux couleurs du monde, en agissant toujours dans la lumière crue du grand jour, que nous devenons nous-mêmes un secret. Le grand secret, c’est quand on n’a plus rien à cacher et que personne alors ne peut vous saisir.

Alors, tout devient mystère.

Le paradoxe apparent qu’elle décrit m’intrigue mais je crois néanmoins comprendre.

Quoique pour vivre heureux, vivons cachés comme dit le proverbe, c’est vainement que l’on chercherait à dissimuler son mystère dans l’ombre, comme un silence dans une symphonie.

J’ai rencontré un paradoxe apparent semblable il y a peu.

La volonté de tout maîtriser dans laquelle se drape l’espoir aussi faussement secret que vain d’échapper à la mort.

La maîtrise totale aboutirait à la même immobiliité complète et définitive.

On ne peut pas échapper à la mort mais seulement à la peur qu’elle suscite et l’on ne peut jamais y parvenir qu’en vivant, en acceptant le mouvement de la vie qui échappe à toute maîtrise humaine.

Peut-être est-ce la raison pour laquelle l’homme est parti à la recherche de Dieu.

Comme j’avais apprécié l’écriture drue et précise d’Hélène Grimaud qui me rappelait un peu celle de Michel Tournier, j’ai lu son autre ouvrage, le premier chronologiquement, intitulé Variations sauvages dans lequel elle cite Dostoïevski dont elle est manifestement une fervente adepte :

La douleur n’est pas le lieu de notre désir mais de notre certitude.

Je n’ai guère dû lire qu’une ou deux nouvelles ou courts romans de Dostoïevski mais cette citation suscite chez moi un vif intérêt.

En outre, cette phrase résonne en écho à ce que je viens d’écrire.

Enfin, au cours de cet été travesti :

j’ai allumé un cierge,

j’ai vu un troupeau de chars d’assaut,

j’ai écrit une lettre de fan,

j’ai été profondément ému par le film Emma’s glück et en particulier par l’interprétation de son actrice principale,

des eaux de la Méditerranée, de la Manche et de la piscine dans lesquelles je me suis baigné, la plus froide n’était pas celle que l’on aurait cru,

j’ai rêvé de deux femmes qui avaient repoussé mes avances il y a quelques mois et quelques années.

Mode été 2007

Vendredi 10 août 2007

Contre toute attente l’accessoire tendance de cet été à Paris est l’écharpe que l’on prendra soin d’abandonner négligemment sur le dossier de sa chaise uniquement sur les terrasses réchauffées par des parasols à gaz.

Copieur

Vendredi 20 juillet 2007

Vu, copié et collé depuis chez Akelia.

On ne change pas une formule qui fonctionne : en gras, ce que j’ai déjà fait, en italique, ce que j’aimerai faire.

(certaines propositions me semblent pouvoir faire l’objet d’interprétations personnelles…)

1. Payer votre tournée dans un bar
2. Nager avec des dauphins dans l’océan
3. Escalader une montagne
4. Conduire une Ferrari
5. Visiter les Grandes Pyramides
6. Porter une tarentule
7. Prendre un bain avec quelqu’un à la lumière des bougies
8. Dire “je t’aime” en le pensant vraiment
9. Prendre un arbre dans vos bras
10. Sauter à l’élastique, dans la cour de récré
11. Visiter Paris
12. Regarder un orage sur la mer
13. Rester éveillée toute la nuit pour regarder le lever du soleil
14. Voir une aurore boréale
15. Aller dans un grand événement sportif
16. Faire pousser et manger vos propres legumes
17. Mentir
18. Toucher un iceberg
19. Dormir sous les étoiles
20. Changer la couche d’un bébé
21. Faire un voyage en montgolfière
22. Voir des étoiles filantes
23. Être saoul avec du champagne
24. Donner plus que vous en pouviez à une œuvre caritative
25. Observer la nuit avec un télescope
26. Participer à un record du monde
27. Faire une bataille avec de la nourriture
28. Parier sur le cheval gagnant
29. Demander votre chemin à un étranger
30. Faire une bataille de boules de neige
31. Crier aussi fort que vous pouviez
32. Porter un agneau
33. Voir une éclipse totale
34. Escalader une dune
35. Écraser un animal en voiture (j’ai vu que des plumes, j’ignore si le volatile a survécu…)
36. Danser comme une fou sans se soucier de qui vous regarde
37. Adopter un accent pour une journée entière (des mois, même !)
38. Se sentir vraiment heureux, même un court moment
39. Avoir deux disques durs sur votre ordinateur
40. Prendre soin de quelqu’un de saoul
41. Danser avec une inconnue
42. Observer les baleines dans l’océan
43. Voler un panneau
44. Voyager en “sac à dos” en France
45. Entreprendre un long voyage sur la route
46. Escalader des rochers
47. Faire une balade de minuit sur la plage
48. Faire du parapente
49. Visiter l’Irlande
50. Avoir le cœur brisé plus longtemps que vous n’aviez été amoureux
51. Au restaurant, vous asseoir à une table d’inconnus et manger avec eux
52. Visiter le Japon
53. Traire une vache et aussi des chèvres
54. Classer vos CD par ordre alphabétique
56. Chanter dans un karaoké
57. Traîner au lit une journée
58. Jouer au football
59. Faire de la plongée sous-marine
60. S’embrasser sous la pluie
61. Jouer dans la boue
62. Jouer sous la pluie
63. Être dans un théâtre de plein air
64. Visiter la grande Muraille de Chine
65. Créer votre entreprise
66. Tomber amoureux sans avoir le cœur brisé
67. Visiter d’anciens monuments
68. Suivre un cours d’arts martiaux
69. Jouer à la XBox pendant 6h d’affilée
70. Être marié
71. Tourner dans un film
72. Organiser une fête surprise
73. Être divorcé
74. Ne pas manger pendant 5 jours
75. Faire des biscuits à partir d’un sachet tout prêt
76. Gagner le premier prix à un concours de déguisement
77. Conduire une gondole à Venise
78. Être tatoué
79. Faire du canoë-kayak
80. Être interviewé à la télévision
81. Recevoir des fleurs sans raison particulière (bah quoi, c’est permis de rêver !)
82. Jouer sur une scène
83. Être à Las Vegas
84. Enregistrer de la musique
85. Manger du requin
86. S’embrasser dès le premier rendez-vous
87. Être en Thaïlande
88. Acheter une maison
89. Enterrer un de vos parents
90. Faire une croisière
91. Parler plus d’une langue couramment
92. Élever des enfants
93. Suivre votre chanteur favori en tournée
94. Faire une randonnée en vélo dans un pays étranger
95. Déménager dans une autre ville pour une nouvelle vie
96. Manger des fourmis
97. Marcher sur le Golden Gate Bridge
98. Chanter à tue-tête dans votre voiture et ne pas avoir arrêté alors que vous saviez qu’on vous regarde
99. Subir de la chirurgie esthétique
100. Survivre à un accident duquel vous auriez pu ne pas survivre
101. Écrire des articles pour une grande publication
102. Perdre plus de 18 kg
103. Soutenir quelqu’un qui perdait connaissance
104. Piloter un avion
105. Toucher une raie vivante
106. Briser le cœur de quelqu’un
107. Aider un animal à donner naissance
108. Gagner de l’argent à un jeu télévisé
109. Vous casser un os
110. Percer une autre partie de votre visage que les oreilles
111. Utiliser un revolver ou autre arme à feu
112. Manger des champignons que vous aviez récoltés
113. Monter un cheval
114. Subir une importante opération
115. Avoir un serpent comme animal de compagnie
116. Dormir plus de 30h d’affilée
117. Visiter tous les continents
118. Faire une randonnée en canoë de plus de 2 jours
119. Manger du kangourou
120. Manger des sushi
121. Avoir votre photo dans le journal (dans tous les sens du terme…)
122. Changer l’opinion de quelqu’un à propos de quelque chose qui vous tenait vraiment à cœur
123. Reprendre vos études
124. Faire du parachute
125. Porter un serpent
126. Construire votre PC à partir de différents morceaux
127. Vendre une de vos créations à quelqu’un qui ne vous connaissait pas
128. Teindre vos cheveux
129. Raser votre tête
130. Sauver la vie de quelqu’un

TEST

Dimanche 1 juillet 2007