A méditer
Dimanche 30 avril 2006Lu dans une chronique de Dominique A dans Epok, le journal de la FNAC :
On ne condamne bien chez les autres que ce qu’on déteste chez soi.
Lu dans une chronique de Dominique A dans Epok, le journal de la FNAC :
On ne condamne bien chez les autres que ce qu’on déteste chez soi.
- Je ne comprends pas pourquoi je suis toujours en retard sur ce passage.
- Tu es en avance sur les autres, c’est ça ?
- Non, en retard, c’est quand on arrive après les autres.
- Ah, oui…
- Je suis cartésien et pourtant je crois aux nuits de pleine lune. J’ai été portier en boîte de nuit. Les nuits de pleine lune, c’est la merde, il y a toujours de la bagarre. Je ne sais pas ce qui passe mais les gens sont plus stressés les nuits de pleine lune.
- C’est assez logique. La pleine lune influe bien sur les marées. Il n’y pas de raison qu’elle n’influe pas sur l’homme qui est composé de 70 % d’eau… d’ailleurs ce serait intéressant à représenter, ça.
On a tous des défauts, on le sait, on les connaît.
Quand les choses commencent à bien marcher on a tendance à les oublier, à avoir l’impression qu’ils n’existent plus.
C’est là qu’il faut faire attention, parce qu’on a toujours les mêmes défauts qu’avant et il faut les garder à l’esprit et faire avec, sinon c’est là qu’on se casse la gueule.
En fait, un joystick c’est un godemichet pour homme.
(Il semblerait qu’il soit plus moderne de parler de game pad et de sex toy)
(De toutes façons, je n’en ai pas)
C’est une québecoise qui m’a dit à Paris que je parlais comme un belge, un peu.
- mmmmm… c’est bon ce gâteau aux amandes.
- C’est de la noix de coco.
- Ju, il est daltonien de la bouche !
J’aurai trente ans dans douze heures exactement.
Je dois reconnaître que mon angoisse est moins symbolique que cet âge.
Une fois n’est pas coutume, je découvre en consultant le programme télé que ce soir à 20h50, France 4 diffuse This is spinal tap de Rob Reiner.
La soirée repassage sera donc moins pénible que prévue !
Edit : Trahison ! Ils l’ont diffusé en VF !
La haine est gratuite
L’amour c’est 30 euros la pipe
Je me demande dans quelle mesure c’est du second degré.