Dans son regard absent et son iris absinthe…

Parfois on aimerait anesthésier le monde, le harponner d’une seringue hypodermique, lui coller une bonne dose de sédatif. Seulement le monde est trop fort, trop présent, trop enveloppant. Il faut faire avec ses moyens, alors à défaut de l’anesthésier lui, on s’anesthésie soi. Les moyens sont nombreux, tout est possible, toutes les doses existent.

Anesthésie vient du grec anaisthêsia qui signifie insensibilité. S’anesthésier c’est se rendre insensible. Pourquoi vouloir être insensible ? Sans doute par réaction au fait qu’on est trop sensible à un moment donné et qu’on réalise cet excès de sensibilité à travers une douleur.

Je m’interroge toutefois sur les vertus d’une anesthésie sans chirurgie.

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