La chanson du dimanche

Chaque dimanche, une chanson ou un morceau de musique qui appartient à une ou plusieurs de ces trois catégories :

qui me fait frissonner : discrètement mais immanquablement, parfois depuis plusieurs années.

qui m’(a) obsède(é) : ça ne dure toujours qu’une période, relativement courte, de quelques heures à quelques semaines, qui, parfois, peut se renouveller.

qui me rappelle… : quelques minutes de musique associées à quelques minutes ou plus de vie passée.

Il est cinq heures, Paris s’éveille, Jacques Dutronc
extrait de Jacques Dutronc / 1968

J’ai hésité avec Le dragueur des supermarchés et L’aventurier que j’ai redécouverts cet été en emmenant un best-of en vacances mais celle-ci est plus touchante car c’est une des chansons que j’aimais déjà lorsque j’étais enfant.
Finalement il n’y en a pas tant que ça dont je puisse me rappeler.J’imagine que la flûte traversière y est pour quelque chose.

Je me rappelle avoir appris il y a quelques années que les parties de flûte qui sont pourtant si caractéristiques de ce morceau avaient, en fait, été improvisées le jour de l’enregistrement de la chanson par un musicien qui était présent dans les studios.

J’ai retrouvé l’anecdote sur la page wikipédia consacrée au flûtiste, Roger Bourdin.

C’est parce qu’elle avait fait une (très bonne) reprise de cette chanson sur son album Helium sunset (ou plutôt peut-être sur le CD bonus qui accompagne l’album proprement dit) que je me suis intéressé à An Pierlé.

J’aime bien suivre les chemins qui m’ont mené d’une chanson à une autre, d’un artiste à un autre mais ce soir j’ai la flemme d’aller plus avant.

Erreur de la base de données de WordPress : [Table 'xeteras.wp_comments' doesn't exist]
SELECT * FROM wp_comments WHERE comment_post_ID = '72' AND comment_approved = '1' ORDER BY comment_date

Laisser un commentaire