On ne saurait mieux dire
Extrait d’un article de Sami Michael dont Courrier International, qui indique qu’il prône le courage d’oublier, a publié la traduction :
Aucune tombe, aucune synagogue, aucune mosquée ni aucune église ne sont plus sacrées que les cris de joie des jardins d’enfants. […] Le seul symbole au pied duquel je suis prêt à me recueillir, ce n’est pas celui qui drape les cercueils, mais le regard ébloui d’un enfant devant le ciel bleu, ce ciel qui vous fait sentir que rien n’est plus précieux que la vie.